Je suis morte, et alors ?
Fanny Garin
Au sein d’une mécanique théâtrale onirique et menaçante, des personnages aux noms à peu près similaires, aux corps de rêves et aux projets insipides, se retrouvent dans une splendide villa qui va peu à peu devenir cauchemardesque – le terrain, peut-être, d’un affrontement dans le noir autour de l’eau. Il s’agit de partir des projecteurs, de la lumière crue, de l’artificialité, pour se frayer un chemin vers les profondeurs, l’insaisissable.
Résidences