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© Stephen Vincke

CORPS, une zone grise

Médéa Anselin et Alice Valinducq

Nous sommes trois corps assignés femme à la naissance.

Grandies avec Sexy Sushi et Lady Gaga, tout en étant habillées de l’héritage de Barbara et d’Edith Piaf. Surfant sur la vague de Rosalia, tout en gardant en tête Lara Croft et Wonder Woman comme soi-disant figures d’empouvoirement. Bercées par les comédies romantiques Love actually et Bridget Jones, et confrontées directement aux féminicides réguliers et aux abus de pouvoir qui persistent. Tiraillées entre des idéologies néo-capitalistes et écoféministes.

Quelle perception de nos corps avons-nous ?
Comment utiliser politiquement nos corps complètement sexualisés, imprégnés de ces imaginaires et ces réalités contradictoires?

Yasmina, Garance et Maria expérimentent chacune leur rapport singulier à la mémoire de leur corps : une mémoire corporelle manufacturée constituée d’une mémoire traumatique qui affecte nos sensations, et d’un imaginaire collectif qui influe sur nos attitudes et nos raisonnements.

Distribution

Avec : Yasmina Al-Assi, Garance Durand-Caminos, Maria Jover-Pujol et Alice Valinducq

Mise en scène : Médéa Anselin

Aide à la dramaturgie : Florence Minder

Regard extérieur : Lylybeth Merle

 

Production

Production : Manon Faure pour Venedig Meer asbl
Avec le soutien de Venedig Meer asbl, du Théâtre Varia, de La Raffinerie – Charleroi Danse, du BAMP et de Kanal – Centre Pompidou.

Résidences

CORPS, une zone grise

LU 05 VE 16/12