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Ailleurs n’existe pas

Ailleurs n’existe pas parle d’écologie, de logique et de raison, de fantômes et d’esprits, croise les danses folk et contemporaine et le texte pour explorer les imaginaires de la forêt et évoquer l’histoire de Julia Butterfly Hill.

Stéphanie Auberville

Le titre est extrait d’une interview où l’activiste aborde «l’esprit de jetabilité», concept qui nous permet de prendre un objet qui se trouve dans notre espace pour le mettre « ailleurs ». « Où se trouve cet «ailleurs»? Il n’existe pas, la planète est partout, il n’y a pas d’ailleurs. La forêt est ici envisagée comme espace aux mille imaginaires et résistances, point d’achoppement de la pensée rationnelle, de l’écologie et des pensées ancestrales. Les définitions du vivant se percutent, le progrès rencontre sa limite par virus et zoonoses. Tout peut arriver.

Résidences

Ailleurs n'existe pas

LU 04 VE 15/12